LE NOUVEL AN CHEZ-NOUS

La célébration de noel 2012 dans la ville de Lubumbashi n'a pas été aussi chaude, sinon que dans quelques Eglises. Je ne pouvais pas imaginer la même chose pour les festivités de nouvel an, souvent chaleureuses. Des familles ont vu passer le temps comme s'il renviendrait. Les employés ont vu passer les jours comme si le mois s'allongait. Puis 2013 est arrivé mais pas avec l'argent, pas avec le salaire.
Ce mardi 01 janvier 2013, le monde avait adopté une ambiance partculière. Dans les pays qui décrient pourtant la crie économico-financière, des feux d'artifice ont pourtant coloré le ciel, les fêtes se sont pourtant organisées et les casses s'en sont suivies. Dans ma ville, Lubumbashi, les grands mouvements ont vécu à la veille du nouvel an, au point que le reveillon à trouvé certains commerciaux actifs. Mais malgré tout, les mouvements d'achat n'ont pas été impressionnants. "La crise est la seule coupabale. Les années passées n'ont pas été ainsi. On pouvait même s'acheter de nouveaux habits ou pour les enfants.", m'a confié une maman rencontré. Mais les accidents de circulations eux ont suffi.

Beaucoup de silence au nouvel ans dans ma ville. D'abord  que nombreux ont fait leur tapage au reveillon, puis parce que la crise réelle domine la population. Le centre-ville était calme. On ne pouvait entendre que le bruit d'une entreprise brassicole qui organisait un concert et une promo. Les mouvements ambiants, c'était dans les périphéries du centre-ville. On pouvait cependant percevoir des opérateuts de cabine téléphonique, des vendeurs de glaces, quelques mécanos et rien de plus que de personnes désespérées, faisant des va et vient infertils. Bref, 2013 est arrivé seul dans ma ville sans rien de plus. Quelques familles ont biensûr fêter mais pas assez.  Et che-vous alors, c'était comment?  ©fideleblog.canalblog.com