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Le Blog de Fidèle Bwirhonde
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2 janvier 2013

HISTOIRE DES SCIENCES DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION A L’UNIVERSITE DE LUBUMBASHI, RDC

Le Département des Sciences de l’Information et de la Communication est dans ses douze ans à l’Université de Lubumbashi (UNILU), RDC. Il fut créé comme pour essayer, mais aujourd’hui, il constitue les poumons, la mère nourricière de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’UNILU. Voici son histoire, de ses débuts à nos jours. Un parcours imposant!

Capture sur le mur du secretariat du Departement des SIC, UNILU - RDCNous sommes dans les années 90, les Sciences de l’Information et de la Communication font les Unes des conversations grâce aux innovations progressives des Technologies de l’information et de la communication. A l’Université de Lubumbashi, c’était presque tous les Professeurs qui s’étaient investis pour que ces Sciences encore nouvelles y fassent un Département. Plusieurs fils du pays venaient de finir leurs études dans ce domaine en Europe, ils sont alors parmi les premiers au pays. Pour ramener plus ou moins le pays au rythme du monde actuel, ces Sciences faisaient un atout. On peu citer les professeurs Jacky MPUNGU, Kilanga MUSINDE, Keba TAU (décédé), le Chef de Travaux (à l’époque) Jean-Marie DIKANGA... Ils sont les piliers du projet.

Le projet va se mûrir avec de grandes ambitions et au cours de l’année académique 1999-2000, un nouveau département ouvre ses portes. C’est celui des Sciences de l’Information et de la Communication (SIC) à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines. Avec des enseignants invités et des Associés, les activités commencèrent plutôt péniblement. Deux filières sur les trois actuelles commencent : le Journalisme et  la Communication des Organisations. Environ six ans plus tard, la filière des Arts de spectacle fut ouverte. Feu le Prof. Keba TAU fut le tout premier chef de ce département.

Ne connaissant pas l’attrait qu’auraient les SIC plus tard dans la ville de Lubumbashi, l’UNILU ne construit aucun bâtiment pour les accueillir.

C’est ainsi que ce nouveau département fut ouvert à la faculté des Lettres, alors qu’ailleurs ces sciences constituent une faculté entière ou un département en Sciences Sociales. Cela parce que cette dernière n’avait pas assez de bâtiment et seule celle des Lettres pouvait parier à ce problème car elle avait des bâtiments et des enseignants qualifiés.

Aujourd’hui après plus d’une décennie, ce département renferme plus de la moitié de l’effectif de la faculté de Lettres. Qui pouvait se l’imaginer!

Avec le temps, le département a multiplié le nombre de ses enseignants avec ses plus de 20 000 étudiants y inscrits chaque année. Une évolution remarquable le place en tête parmi les départements les plus aimés par les jeunes étudiants (parfois sans réunir les capacités requises) et donc qui fournissent plus de recettes à l’Université de Lubumbashi. Mais malheureusement, il est également parmi ceux qui n’ont pas sinon qui ont trop peu d’outils didactiques pour la pratique professionnelle des apprenants, surtout que les SIC appellent à manipuler divers outils avec dextérité.

Le secrétaire actuel de ce département, Corneille NGOIE KALULWA, les Chefs de Travaux Maurice KITOKO et Serge KAYEMBE qui y enseignent aujourd’hui sont parmi ses tout premiers produis finis. Et moi, Fidèle BWIRHONDE, qui vous écris cette histoire, je suis de sa huitième génération.

Le chemin à parcourir est encore long, très long. La pente est raide mais les chances de mieux faire sont multiples. Et la moisson est abondante !  ©fideleblog.canalblog.com

 

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Commentaires
T
j'aime bien cette faculté mais il y a t-il la différence entre celui qui fais la science du langage et celui qui qui fais le sic?
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B
Merci pour la visite sur mon Blog mais plus encore pour l'info que vous me donnez. Cependant, je vous propose d'écrire et de me proposer votre texte à la question, en vous assurant d'avoir des données soutenant les faits que vous mes narrez. Je ne suis pas dans des conditions où je pourrai mener cette enquête actuellement.<br /> <br /> Merci et à très bientôt!
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D
Bonjour mon cher ami et frère Bwirondwe.Je vous admire beaucoup et vous souhaite bon courage dans votre intrépide ouvrage,je vous suggère néanmoins de rentrer dans le vif du sujet en nous parlant par exemple d'un prètre errant dans les rues de lubumbashi, très téméraire, il fait mettre au cachot des journalistes du journal le globe qui ne font que leur boulot en dénonçant le fait qu'il aurait eu une aventure avec une jeune fille enceinte depuis et ce maudit prètre se promène en toute impunité dans lubumbashi après cette fois- ci avoir détourné 18000 dollars à la nouvelle université Twiga university qu'il empoche sans donner le moindre salaire aux professeurs très laborieux et humbles.Le meme abbé NUMBI TWITTE albert avait au préalable vendu les terrains du grand séminaire de lubumbashi d'ou on l'a renvoyé,en qui croit il ce pretre !!! En Dieu!!! ou dans des billets de banque qu'il subtilise partout ?Merci de publier.A bientot.
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T
si tous les journalistes ressortissant de la faculté des lettres et sciences humaines université de Lubumbashi était comme vous, on est devait pas <br /> <br /> se joué d'homme de presse, à mon niveau je vous souhaite bonne chance surtout courage
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B
Merci monsieur Gaétan pour cette nouvelle visite. J'espère que vous avez aimé le nouveau contenu de notre Blog. Pour votre proposition, je fais le suivi autrement
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